1 févr. 2011

La vie chez Ray

Je voulais vous parler de la vie chez Ray. En effet, l’ambiance est très particulière puisqu’il y a plusieurs nationalités sous le même toit. En fait, ça fait vraiment penser à l’Auberge espagnole. Tu peux être dans la cuisine et entendre parler allemand, changer de pièce pour parler espagnol. Comme je traine souvent avec Marcos, le Chilien et Jonathan, le Méxicain, on parle anglais et on s’insulte en espagnol :b

Quand on ne travaille pas, on prend mon van pour aller à la plage ou à la bibliothèque (internet est gratuit). Sinon je vais pécher (même si je n’ai toujours rien attrapé). J’ai acheté mon van avec une canne à pécher et avec tout le matos pour pécher donc j’en profite.



Au boulot, on parts tous ensemble travailler dans le mini bus de Ray
un sèche linge monter à l'envers, jamais vu ça !


La popotte


Lana au fond

Gros Ray et Sandiego

Jonathan de Mexico 


 J’entame ma 2e semaine chez Ray. Pour l’instant je n’ai travaillé qu’un seul jour. C’est Ray qui est (soi-disant) chargé de nous trouver un travail dans le coin. Mais ça fait la 4e fois qu’il nous dit que nous pourrons pas travailler demain (Marcos et moi)…. C’est pas très réglo…. surtout qu’il nous le dit que la veille à chaque fois. Il veut qu’on paye en début de semaine le loyer pour toute la semaine (18 $ / jour  soit  10 € / jour) pour après nous dire que demain on ne pourra pas travailler….. surtout que le loyer est assez cher par rapport à Auckland (20 $ / jour) alors que c’est une grande ville ou tu n’as pas besoin de prendre ta voiture pour aller faire des courses. Internet n’est pas gratuit non plus (5 $ pour avoir 50 Mo de téléchargement), ni les lessives….

Alors pourquoi rester chez Ray ? parce que j’espère pouvoir travailler au moins 3 ou 4 jour cette semaine, ce qui me payerai le loyer et un peu l’essence pour voyager. Et puis, je suis avec des gens vraiment sympa avec qui je rigole bien donc ça vaut bien le coup de rester une semaine de plus (et puis 2 suédoises viennent d’arriver …. :p).
De gauche à droite : Marcos, Jonathan, Sandiego et Jacqueline


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